Vingt-quatre heures de la vie d’une femme

L’histoire…

C’est l’histoire de madame C qui s’éprend d’un jeune inconnu suicidaire et esclave des jeux. Sur une durée de 24 heures, elle décide de le sauver, aveuglée par une passion subite et dévorante…

Mon avis…

Dans ce petit livre, qualifié de chef d’œuvre par Sigmund Freud, Zweig s’attaque aux pulsions et passions qui nous aveuglent, nous rongent et nous obligent à agir, souvent de manière insensée, parfois de manière stupide…

L’idée de départ était bonne et je suis habituellement friande des histoires qui s’intéressent aux bouleversements comportementaux. Cela dit, je n’ai pas été transportée par cette histoire. Pour être parfaitement honnête, elle ne m’a point intéressée. Je n’avais qu’une hâte, c’était d’en finir.

Sur la forme, je n’ai pas non plus retrouvé la plume habituelle de Zweig. Celle, parfois poétique, qui m’émeut tant.

Pour conclure, je vous propose de lire cette œuvre afin que nous en discutions. Nous ne sommes, fort heureusement, pas touchés de la même manière par les livres ; il est donc possible que vous m’éclairiez sur des aspects que j’aurais omis.

Avec passion,

Dyna.