Twitter0Facebook0 Adolphe, Benjamin Constant 83 pages. C’est tout ce qu’il a fallu à Constant pour produire cette œuvre d’art. Tout au long du roman, cette déchirure subsistait en moi… Cette angoisse à l’idée de tourner la dernière page de cette œuvre. Un récit touchant, une ambiance malsaine et une envie irrépressible de connaître le dénouement……
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